Avant de la rencontrer, je m’étais renseignée auprès de spécialistes sur la manière de conduire l’interview d’une personne ayant vécu la Deuxième Guerre mondiale. Elles m’avaient prévenue : « Ne laisse pas le témoin prendre le dessus et digresser. C’est toi qui mènes l’entretien ! »
Dès les premières minutes avec Mariette Jacob j’ai compris que ce ne serait pas possible.